
Il a attendu encore une vingtaine de secondes, toujours les yeux rivés sur moi, et puis il s’en est allé de son petit trot bondissant si caractéristique.
On va me dire que je délire en pensant que Renart m’écoutait et comprenait. Peut être. Mais à quelques temps du mystère de la résurrection, parler et être compris d’un renard me semble beaucoup plus crédible …

ooh ! Merci pour cet adorable texte et ces photos délicieuses ! Comme je regrette de n’avoir connu que les traces de cet habitant d’Aasiaat Nuna ! Et moi qui me le figurais blanc ! Merciii!
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Le premier à l’avoir vu est Keven, pendant que l’on préparait le Manguier pour l’hiver. Tu étais là, me semble-t-il, Karin.
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Ceci n’enlève rien à la beauté mystique du texte 😊
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Joliment écris, quelle belle histoire à raconter!
Une question : les renards ne sont pas blancs ?
Bises .
Valérie.
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Il était temps de lui donner le kanioq ! Dommage que je ne sois plus là pour en pêcher quelques autres pour améliorer son ordinaire maintenant que je connais le bon trou…. ; )
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