Cela fait plus de 15 jours qu’on bichonne, triture, questionne le levain pour tenter de le ramener à la vie. Un demi-mois qu’on le nourrit comme un vieillard fragile, qu’on le couve de notre amour, qu’on mélange ses substances.
Et voilà que ce matin, il jaillit de toutes ses bulles, comme si le printemps ne chantait que pour lui. Ce matin, Julien a su transcender la mie et mâtiner la croûte. Ce matin, à l’heure de la débâcle, c’est l’enchantement du petit déjeuner, l’enfantement d’une nouvelle ère :
Celle du pain au levain.
Bravo c’est magique
Bons petits dèjeuners
J’aimeJ’aime
J’attire l’attention sur la qualité de la coupe de ce magnifique pain, qualité due au nouveau couteau à pain du Manguier obtenu grâce aux points du Pilersuisoq patiemment collés sur le formulaire prévu à cet effet …
J’aimeAimé par 1 personne
Cora, Louis, bravo.
Votre persévérance, votre opiniâtreté à la limite du raisonnable 🤣🤣🤣 a finalement eu raison des « petites bulles » que vous guettiez, scrutiez d’un œil maternel depuis quinze jours.
Je vous adresse un coup de chapeau phénoménal.
Bises,
Patrick
J’aimeJ’aime
Oui, on revient en enfance à coller ces petits points, certes commerciaux-marketing-etc…, sur la planche collectrice.
J’aimeJ’aime
Ah oui! bravo les amis! un petit miracle! – et je sais de quoi je parle… il doit rester un de mes pains-galets à bord, qui peut servir de presse-papier, ou pour faire des ricochets 🙂
J’aimeJ’aime
« Le pain gonfle en prenant la forme de la paume du boulanger. Le porter à sa bouche, c’est comme serrer la main de celui qui l’a pétri »
Erri De Luca
J’aimeJ’aime