C’est bien connu, dans l’isolement, qui plus est arctique, tout pousse à l’introspection.
On se regarde dans le miroir, on se cherche et parfois on se trouve une pépite nichée au fond du cœur ou bien posée sur la peau de l’être.
Puis par paresse aussi car c’est dans l’éther du lieu, on décline l’invitation personnelle et on s’en va chercher refuge et inspiration dans la vie et les réflexions d’écrivains, de poètes. Et les références de qualité ne manquent pas à bord du Manguier. Le dernier recueil arrivé à bord est un livret de poésie. On peut y lire quarante-neuf poèmes de cinq continents, trente-huit pays et seize langues.
En quelque sorte, toute l’humanité à petite échelle.
Dans un vers.
Un verre ? Me direz vous !
Que vient-il faire là ? Vous déraillez mon bon ami !
Je vous répondrai, certes , un peu, mon esprit est joyeux, facétieux.
Il faut maintenant, avant que vous n’ayez un jugement trop sévère à mon égard, que je vous avoue que ce recueil de poèmes est rangé, avec la bouteille de rhum qu’il accompagnait, dans le premier caisson de la table du carré.
Celui des alcools forts…
Hé capitaine, si on lisait un poème ?
J’aime beaucoup le poème d’Anthony Phelps. Est-il possible de partager les références de ce livre de poèmes ? Merci
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Isabelle, je n’ai trouvé que cela sur le net ; j’ai bien l’impression que vous allez devoir investir (haut rendement, tout du moins calorifique) dans un coffret de cet excellent rhum pour lire les poèmes qui ont agrémenté nos soirées sur la banquise.
Cordialement,
Patrick
https://www.milenio.com/cultura/ron-flor-cana-presenta-antologia-poetica-fil
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Oui oui, il suffit d’acheter une bouteille de Flor de Caña !
On regardera s’il y a des références éditoriales !!!
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