Puis Tewee-soo parla de la mort. Elle en parla comme d’un parent aimé et attendu depuis longtemps, qui allait venir en visite.
« La mort, dit elle, est le père de l’être humain. Ni sévère ni injuste, mais tendre, chaleureux et compréhensif. Et pourtant l’être humain s’accroche à sa mère, qui est la vie. A ce qui est connu et compréhensible. Car tous, nous craignons l’inconnu. Nous ne savons pas mieux et ne pouvons rien faire d’autre. Mais l’âme appartient à la mort. C’est pourquoi nous redoutons les âmes des morts, comme nous redoutons tout ce qui nous est inconnu. La mort est le passage de la vie prisonnière à la liberté de l’âme. Manito, qui est le père de l’âme, nous offre une vie qui n’a pas de fin … »
Âmes communicantes : aujourd’hui j’écris sur ce sujet…
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